Allégorie thaumaturgique à caractère ambiphoque

Il court.

Autour de lui, le vide de la vacuité supra-réelle. A l'intérieur de lui aussi, et cette connexité intradermique le pousse à la frénésie. En témoigne la difformité de sa main, qui dans un "élan" méta allégorique en proie à l'expansion de son non-moi (c'est à dire, par essence, la détérmination du néant "corporel" à former sa "substance" inter-divergeante) éxécute une contrainte giratoire absolue autour de son "lui même". Dès lors, c'est le vide même qui l'écrase, l'enferme et le "pousse" à l'aliénation pseudopsychologique et syntaxiomique. Et dythirambique, aussi. Enfin je crois.

Soudain, l'idée substantielle de son inconscient "se" métamorphose. Comme le "non-moi" intérieur qui le composait, l'entité phallique devient main accusatrice. On retrouve ici l'expansion allégorique de la main, "symbole" de la maitrise sur le monde, qui, grandie de trop de vide, devient fardeau et pousse à la "folie" de cet autre "moi" qui, de manière ambivalente (à la fois pluri-iconique et, par essence libre, abstraite) se forme spontanément. Une "auto-sentence" funeste et lucide, lol.

Nous voyons les œuvres plastiques que nous aimons et auxquelles nous travaillons comme des
cartes.Toute carte est un objet graphique,mais surtout nous croyons fécond de considérer toute
œuvre plastique comme une sorte de carte.Parce que la carte implique toujours un dehors,parce
qu ’elle résulte toujours d ’un voyage,et suscite toujours un désir de voyage.